En Suisse, l’étude du professeur René Hefti n’est pas encore terminée mais une conclusion peut déjà en être tirée : Les croyants ont une plus grande résistance au stress et s’en remettent plus vite que les non-croyants.
En collaboration avec l’Institut de recherche sur la santé et spiritualité, la Fondation pour la médecine holistique (MBS) a mené une étude sur une quarantaine de jeunes entre 15 et 30 ans. Les participants ont été soumis à trois sortes de stress: physiologique, mental et social. C’est lors de ce dernier test (une prise de parole en public) que la différence entre les personnes ayant la foi ou non a été la plus marquée. Plus une personne était religieuse, plus vite son pouls et sa pression artérielle sont revenus à la normale. Les résutats définitifs sont prévus pour le printemps 2013.